Henri Meschonnic (1932-2009) est l'auteur d'une oeuvre considérable où poèmes, essais et traductions font le continu d'une théorie du langage et du rythme et d'une pratique d'écriture et de lecture pleines de vie l'une par l'autre. Ce blog offre simplement des documents à tous ceux qui de près ou de loin aimeraient continuer avec Henri Meschonnic.
mercredi 3 février 2010
Jacques Ancet: le sujet avec Meschonnic
Jacques Ancet, "Au sujet du sujet" dans Europe n° 877, mai 2002, p. 302-307. Avec une introduction de la rédaction d'Europe signalant qu'il s'agit d'une lecture des enjeux de Célébration de la poésie mais s'en dégageant...
Henri Meschonnic, une pensée indépassée, non pas "incomprise" mais non reconnue, c'est plus pervers et plus inquiétant ; - "il n'est pire sourd ..." - par exemple qui l' a qualifié de "sérial killer", sans rappeler ce que Meschonnic opposait à la polémique, et la citation de Mandelstam à l' entrée de Critique du rythme, "En poésie, c'est toujours la guerre". Mais la guerre que certains lui attribuent, ce n'est pas lui qui la faisait, plutôt ceux qui préféraient et préfèrent toujours la politique de l' autruche à la "politique du rythme". Je n'ai pas fini de lire Meschonnic, j'y reviens constamment, indéfiniment, rare auteur où l'on apprend. Gérard Fiot, chercheur en Dujardin sur http://chassés-croisés.blogspot.com/
Jacques Ancet, "Au sujet du sujet" dans Europe n° 877, mai 2002, p. 302-307. Avec une introduction de la rédaction d'Europe signalant qu'il s'agit d'une lecture des enjeux de Célébration de la poésie mais s'en dégageant...
Henri Meschonnic, une pensée indépassée, non pas "incomprise" mais non reconnue, c'est plus pervers et plus inquiétant ; - "il n'est pire sourd ..." - par exemple qui l' a qualifié de "sérial killer", sans rappeler ce que Meschonnic opposait à la polémique, et la citation de Mandelstam à l' entrée de Critique du rythme, "En poésie, c'est toujours la guerre". Mais la guerre que certains lui attribuent, ce n'est pas lui qui la faisait, plutôt ceux qui préféraient et préfèrent toujours la politique de l' autruche à la "politique du rythme".
RépondreSupprimerJe n'ai pas fini de lire Meschonnic, j'y reviens constamment, indéfiniment, rare auteur où l'on apprend.
Gérard Fiot, chercheur en Dujardin sur
http://chassés-croisés.blogspot.com/